La délégation était constituée de deux experts phytosanitaires japonais qui ont visité l'IFV au Grau du Roi, le laboratoire National de FranceAgriMer à la Rochelle ainsi que les pépinières Mercier à Vix.
L’objectif de cet audit était de se mettre d’accord principalement sur les exigences phytosanitaires du protocole d’accord à venir.
Dans le cas où le rapport d’audit serait favorable et sous réserve que les conditions phytosanitaires soient acceptables pour la partie française, les exportations de plants de vignes français pourraient démarrer en 2020 ce qui représenterait un marché hautement qualitatif et de l’ordre de 250 000 plants par an.